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butokaï

Jour de sortie

Dernière mise à jour : 4 août 2021

Maitresse aXelle m’a fixé rendez-vous en me précisant que nous sortirions du donjon et qu’elle voulait voir ce que je valais comme soumis que l’on exhibe. Encore une nouvelle étape dans mon éducation de soumis et je suis heureux de continuer avec une si belle Domina.

Les instructions sont claires : après avoir porté un plug, trêve des confiseurs, je dois porter un string et des bas en attendant notre séance. J’ai bien tenté une petite négociation pour les bas mais les ordres ne sont pas discutables.

Le jour J, je viens donc chercher Maitresse aXelle et la voiture noire nous emmène vers l’inconnu. Direction un lieu célèbre auprès de la communauté SM. Arrivés sur place, elle me revêt une cagoule pour garantir mon anonymat et en bas de l’escalier un bandeau me cache la vue. Maitresse aXelle sort ses liens pour un exercice de bondage et au fur et à mesure mes vêtements me sont ôtés. Mes mains sont attachées et une sorte de laisse est posée autour de mes bourses et de mon sexe. Je suis comme une chienne en laisse et je dois la suivre tel quel. Je me laisse guider et tout d’un coup elle me fait mettre à genou. A ce moment-là, elle sort un martinet et la punition commence sur mes fesses qui sont à l’air. Les coups viennent à différentes vitesses. Plus ou moins fort. Je sens ma peau qui pique un peu, puis de plus en plus fort. Quelle sensation délicieuse. Quand elle décida que c’était suffisant (pour le moment), Maitresse aXelle brancha le Magic Wand qu’elle avait pris avec elle. Je suis à genou, elle passe le sextoy autour de mon sexe et sur mon gland. Je bande comme un fou et je me concentre pour ne pas jouir car je n’ai pas l’autorisation comme elle me le rappelle. Mon cerveau prend le dessus et je suis capable de gérer mon excitation malgré tout le sadisme qu’elle emploie pour me faire jouir. Je suis assez fier de moi. Au bout de plusieurs minutes, alors que j’ai bien tenu, j’ai droit à un petit moment de pause. Je suis toujours à genou avec le buste sur un support permettant d’avoir mon cul bien en l’air. Ma Domina se pose à califourchon sur moi et en profite pour frotter son sexe sur mes reins et se passer le sextoy sur son clitoris. Je sens le plaisir qui monte chez elle et l’excitation est à son comble. Quand elle eut fini, la domination repris ses droits. Alors que je suis toujours dans cette posture de soumis qui me correspond bien, Maitresse aXelle sort quelques pinces avec des poids et les installe sur mes testicules. Le savoir et la bienveillance sont au rendez-vous car elle le fait de manière très minutieuse. Je sens la pince saisir ma peau doucement et la sensation de douleur s’installe tranquillement. Alors qu’elle me décore tel un sapin de Noël, tout le monde peut contempler mon cul et mes couilles bardées de pinces. Je me sens observé et je tiens absolument à ce que Maitresse Axelle soit fière de sa petite salope.

Ensuite, elle décida de changer de coin dans la pièce qui me semble immense car je ne l’ai pas vu. Je suis ma maitresse qui me guide avec ma laisse toujours attachée à mon sexe et elle me remonte le boxer pour que je puisse marcher facilement. Une bonne douleur s’installe car les poids tirent sur ma peau et les pinces appuient encore un peu plus.

Maitresse Axelle me fait tenir debout et m’attache les bras vers l’avant en l’air à un anneau au plafond. Je sens que plus je ramène mes bras en position de repos et plus la laisse se tend avec mon sexe qui se soulève et fait bouger les pinces. Quel plaisir de se faire dominer de la sorte ! J'ai l'impression de faire partie d'une performance artistique et d'être sous les doigts d'une grande chorégraphe SM.

Elle me prévient qu’il faudra être fort et j’entends les gens autour de moi qui m’observent et se demandent ce qu’elle va bien me faire. Un homme passe et lui dit qu’il n’a jamais rien vu d’aussi beau. Je suis heureux que ce compliment lui revienne et j’espère que la petite pute que je suis y est pour quelque chose. Alors que j’ai les bras en l’air, les mains attachées, Maitresse aXelle sort le grand jeu : Magic Wand sur le gland, les doigts de sa main droite qui me pénètrent le cul et ses dents qi mordillent de plus en plus fort mes tétons. Elle a décidé de bien me travailler les tétons.

A ce moment-là je ne sais plus où donner de la tête ! Le plaisir avec ce maudit sextoy est de plus en plus fort, je sens la jouissance qui arrive à pleine vitesse. Mon cul qui s’ouvre comme une fleur sous des doigts experts et la douleur de ses dents qui mordent de plus en plus fort mes tétons. Maitresse aXelle me rappelle que je suis une bonne salope mais que je n’ai pas l’autorisation de me répandre. Il faut que je sois fort ! Quelques râles sortent de ma bouche car je n’ai pas le droit de parler sauf pour répondre à une question.

« Est-ce que tu trouves que je suis sadique ? » Que répondre à cette question. Oui car ce mélange de douleur et de plaisir est intense et non car je prends mon pied ! Elle accentue les passages sur mon sexe avec le Magic Wand. Je fais tout pour ne pas craquer et elle me dit que plus mes râles seront fort, plus elle comprendra qu’il faut faire des pauses. Je laisse donc ma voie s’exprimer et je pousse des cris mélangeant douleur et plaisir. Mais que c’est bon !!!!!

Maitresse Axelle fera plusieurs fois cette punition et je crie comme une bonne salope. J’ai mal, je bande, l’anus est bien ouvert, c’est du bonheur. Alors que je crois que c’est presque fini, elle recommence. Au bout d’un moment, elle sent mon épuisement et m’accorde une pause. Je suis heureux car je n’ai pas joui. Il faut dire que la douleur lorsqu’elle mord mes tétons me coupe l’envie de me répandre.

Maitresse Axelle me dit qu’elle est contente de moi et m’amène avec ma laisse m’allonger sur un canapé alors que j’ai toujours les yeux bandés et la cagoule. Il fait froid et son sadisme est malgré tout bienveillant car j’ai droit à un radiateur pour me réchauffer.

« Tu as envie de boire ? et bien non, tu devras attendre ». Je l’entends se commander un coca et moi je me repose allongé en boule comme elle me l’a demandé. Bref, son soumis posé dans un coin qui ne peut pas bouger. J’ai tout de même le droit de finir son verre de coca pendant qu’elle part installer le matériel dans la troisième salle pour ma punition suivante. Pendant l’attente, elle m’enlève le bandeau et je découvre ce lieu. La pièce n’est aussi grade que je pensais et je vois des couples SM se caresser, prendre un verre, discuter. J’entends des cris de plaisir et de douleurs dans les pièces adjacentes. Maitresse Axelle revient me chercher et m’emmené à l’étage. Dès que l’on pénètre dans la pièce elle me bande les yeux et je ne vois plus rien. Elle me fait monter sur une marche, le dos plaqué contre une paroi sur laquelle est fixée des poignées où elle m’attache les mains et les pieds. Je l’entends sortir une boite et la secouer vers mon oreille. Je comprends au bruit qu’il y a des objets métalliques et mon esprit imagine tout. Des aiguilles, des pinces ou d’autre instruments de torture.

« As-tu peur ? » je réponds oui et non dans la même phrase. La preuve que mon esprit est embué. En méditation on appelle cela Tête Cœur Corps. Ma tête a peur, mon cœur prend son pied et mon corps subi cette domination.

Les pinces sont posées à différents endroits de mon corps et Maitresse Axelle reprends sa domination. Le Magic Wand reprend du service pendant qu’elle s’affaire à me dilater encore plus l’anus. Tout d’un coup elle arrête et déverrouille le mécanisme de la marche sur laquelle je suis. Mon Dieu, c’est une roue et mon corps part vers le côté gauche. Je suis parallèle au sol avec les liens qui m’empêchent de tomber. Ensuite, elle fait tourner la roue d’1/4 de tour et je me retrouve la tête en bas. Mon sexe bande et il est à sa hauteur pour qu’elle puisse bien le branler et m’amener vers la jouissance. Quelle séance de milking de dingue. Je me retiens de ne pas jouir, elle me mord les tétons, passe le sextoy sur ma bite et me pénètre avec ses doigts. Je suis son jouet, son soumis.

Après plusieurs minutes qui me semblent une éternité, je sens que je vais me répandre sans son autorisation. Je crie de plaisir, de douleurs. Elle me dit d’être concentré car on nous regarde. Il y a un public. J’ai de plus en plus de mal à me contenir et j’ai mal tout en prenant mon pied. C’est vraiment un paradoxe le SM.

Maitresse Axelle me rappelle qu’il y a un safeword, et me demande si elle doit arrêter. Je n’utilise pas le safe word et je réponds oui. « Ah c’est un oui qui veut dire encore ! »

Le supplice continue de plus belle jusqu’au moment où je lui demande de pouvoir jouir.

« si tu veux que j’arrête tu connais le safe word » Je n’aurai pas le droit d’éjaculer. Les sensations sont trop fortes et je ne veux pas jouir sans autorisation. Elle doit être fière de sa petite salope et je dis le safe word.

Tout d’un coup tout s’arrête. La roue est remise en position normale, les liens me sont enlevés et un instant de came s’installe. Je lui demande pardon car je ne voulais pas jouir.

Après un moment de réconfort, elle me positionne sur une sorte de cheval d’arçon qui me met dans un position le cul ouvert et le buste posé en avant. Une petite séance de fessé démarre mais nous n’avons pas vu le temps passé et le lieu ferme dans moins de 15 minutes. Ce sera donc un sas de décompression pour moi avant de me rhabiller. Maitresse Axelle voulait me sodomiser mais ce sera pour la prochaine fois. Je me sens frustré car j’ai tout fait pour ne pas jouir et je ne pourrai le faire dans l’immédiat. Et en même temps je suis fier car j’ai respecté les règles. Alors que je me rhabille, Maitresse Axelle me donne une poche fermé d’un zip et me demande de porte ce qu’il y a dedans pendant que je suis au travail pendant une semaine. J’ai le droit de l’enlever le soir avant de rentrer chez moi. Je comprends ce que c’est et je suis tout excité. Je porte donc chaque jour ma cage de chasteté et j’apprends à vivre avec. « Tu verras il est difficile de bander avec ». Je confirme, c’est impossible et je ne bande plus de la journée avec ça.

Vivement la prochaine séance, je deviens accroc au BDSM. Il faut dire que j’ai la chance d’avoir une Domina d’un haut niveau. Je suis une bonne chienne heureuse.

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