Cela fait presque un mois que j’ai vu Maitresse Axelle et pourtant j’ai l’impression que c’était hier. Sa présence ne m’a jamais quitté, presque tous les jours je pense à elle et à son aura qui me fascine. C’est comme si elle m’avait hypnotisé, je ne peux jamais bien longtemps m’empêcher de penser à elle surtout lorsque je commence à me toucher.
Ma deuxiéme séance a commencé sur une note plus détendue que la derniere fois, j’étais moins stressé mais toujours avec un peu d’appréhension car tout ce cérémonial est encore nouveau pour moi.
Je présente donc mes hommages à Maitresse, elle m’invite à me désabiller et je m’exécute sans broncher. Déjà je me sens en position d’infériorité ce qui je dois l’avouer n’est pas pour me déplaire.
Maitresse décide que pour le début je devrais lui masser les pieds ainsi que les jambes (à l’aide d’une huile) pendant qu’elle m’expliquera le déroulement de la séance. Pendant le massage, j’avais, bien entendu, du mal à retenir mon excitation. Je pouvais sentir le galbe et la force que Maitresse a avec ses jambes et ses pieds. De temps en temps, maitresse ouvrait les jambes (comme dans la scène de basic instinct) ce qui aggravait mon état.
Je dois reconnaître que de voir la culotte de Maitresse, le simple fait de m’imaginer renifler ses effluves était une pensée excitante.
Une fois le massage terminé, maitresse apporta les collants que je lui avais offert pour notre première séance afin que je l’aide à les mettre.
Une fois les bas enfilés, maitresse se leva et se pencha en avant, laissant ses fesses me faire face. Elle était collée à mon torse et je ne savais plus où j’étais. Je ne rêvais que d’une chose : l’entendre m’ordonner de me mettre à genoux et poser mon visage entre ses fesses. Malheureusement ce n’est pas ce qui arriva et comme un bon chien (en cours de dressage) je ne pouvais bouger que lorsque permission m’en était donnée.
Je fus ensuite enchainé par Maitresse, il m’était impossible de bouger ni bras ni jambe. Je commençais vraiment à me sentir impuissant !
Maitresse alla même jusqu'à me faire des chatouilles, ce qui était très difficile à supporter et jamais je n’aurais pensé me retrouver dans une situation pareille. Avoir peur de simple chatouille. A ce moment précis je sais que j’appartiens à Maitresse corps et âme, ce qui me procure beaucoup de plaisir mais aussi de craintes. Je n’ai d’autre choix que de me laisser aller.
Une fois le supplice des chatouilles passé, s’en suivra une longue séance de teasing où se mêleront magic wand, pieds, mains et tout ce qui passe par la tête de Maitresse (des possibilités pléthoriques). C’est extrêmement compliqué de résister mais j’y arrive plus ou moins bien. Puis Maitresse me lance ensuite un regard taquin et me propose pour me récompenser de la regarder se masturber.
Je la regarde se masturber avec envie, pour la première fois j’avais envie d’être le magic wand. Elle jouit et s’empresse de me mettre sa culotte sur la tête, avec ses effluves et son odeur intime. Divin !
C’est alors que Maitresse commence à me titiller l’entrejambe. D’abord, chose surprenante, elle pose un préservatif sur mon pénis et entame deux ou trois va et viens avec sa bouche.
Je n’étais pas prêt à cela et j’ai soudain, eu un sentiment que jamais je n’avais ressenti avant, j’avais l’impression d’être utilisé comme un objet sexuel et cette idée m’excitait beaucoup. J’étais prêt à offrir mon corps pour le simple plaisir de Maitresse, je n’ai pas pensé à mon plaisir mais au sien. J’espère qu’un jour j’en aurais le privilège.
Maitresse me titilla une derniere fois le sexe avec ses pieds, elle enleva ses collants et me les fourra dans la bouche, avec pour instruction de ne pas m’étouffer et de ne pas les effiler. Chose je dois le dire assez compliqué.
Suite à cela, Maitresse commença à me toucher la rondelle et décida qu’il était temps de passer à un autre jeu. Il serait question de faire un lavement et de voir comment je réagirai.
C’était mon premier lavement et je ne savais pas à quoi m’attendre. J’ai tout d’abord été attaché sur ce que l’on pourrait qualifier de table opératoire. Jambe levée, écartée et complétement attaché à la table. J’étais à la Merci de Maitresse. Le touché rectal fut à la fois humiliant et excitant.
J’avais cette sensation en moi que jamais je n’avais ressenti avant, je ne saurais la décrire mais cela n’était pas désagréable mais pas agréable non plus, c’était étrange.
Le pire c’est lorsque j’ai dû me lever pour évacuer le liquide. J’ai dû monter jusqu’aux WC escorté par Maitresse et j’ai vraiment senti l’humiliation, j’avais peur de ne pas pouvoir me retenir et d’en mettre partout.
Une fois le séjour au toilette terminé, j’ai retrouvé Maitresse en bas ou m’attendait comme récompense une autre séance de edging. Maitresse a vraiment tout fait pour me faire jouir mais sans son autorisation je ne pouvais pas me répandre. J’ai tout fait pour ne pas jouir, c’était très compliqué, tellement que lorsque j’ai reçu permission je ne suis pas arrivé à jouir. Plutôt cocasse mais véridique.
Finalement c’est au pied de Maitresse à quatre pattes, que je me suis répandu sur le sol. J’ai ensuite eu le droit de lécher mon sperme sur ses pieds, une chose à laquelle je commence à m’habituer.
Je suis encore surpris par la tendresse dont peu faire preuve Maitresse Axelle en fin de séance, c’est totalement perturbant. Je pense que cette attitude renforce en grande partie cette envie de soumission qu’elle me procure.
A l’occaz il faudra relire le docteur Freud.
Alexis de Toquesoumis