Dans le cadre de mon récent contrat d’appartenance , Maitresse aXelle de Sade me fit le grand honneur , il y a peu , d’accepter de partir pour une escapade de quatre jours.
J’avais donc le devoir d’organiser le voyage à Vienne , ville qu’elle avait choisie , de préparer le séjour pour lui faire profiter au maximum de ce voyage .
Elle m’avait demandé aussi , je cite , « d’apporter des objets de torture et surtout de séquestration » . Ce qui me mit dans une certaine angoisse en pensant aux contrôles aux aéroports particulièrement rigoureux avec les attentats.
Arrivés sur place finalement sans problème avec ma valise , Maitresse n’allait pas tarder à me rappeler ma condition de soumis . Elle m’ordonna de mettre ma cage de chasteté et mon plug . Et dès notre sortie de l’hôtel , elle me mit des menottes de pouces que l’allais garder pratiquement pendant tout le séjour .
Et je découvrais ainsi la difficulté incroyable de rester discret , ne pas être repéré par les passants . Le plus difficile étant bien sûr lors des repas au restaurant : et je ne pouvais pas ne pas remarquer les regards de Maitresse sur moi et son air ravi de me voir ainsi dans les plus grandes difficultés pour manger dans mon assiette sans être vu par les voisins de table .
Et clairement , dès les premières heures , je ne pouvais pas ignorer que j’étais bien le soumis de Maitresse aXelle de Sade qui l’accompagnait comme tel .
Dans nos déambulations à pied , j’avais heureusement réussi à faire en sorte de tenir devant moi mon guide de la ville masquant ainsi mes menottes .
J’avais à Paris reçu l’ordre d’organiser les visites , de trouver les restaurants , etc .
A la fin du premier jour , une fois un premier tour de la ville historique fait à pied , je reçu de nouveau l’ordre de réorganiser au mieux les visites dans ce lieu historique du Royaume des Habsbourg, ce que je fis au mieux dans ma chambre d’hôtel avec encore mes menottes aux pouces .
L’épisode suivant qui mérite , je crois , d’être raconté se déroula le mardi soir .
Maitresse Axelle de Sade m’informa , à l’hôtel après le diner , qu’elle ne serait pas là le soir car elle rencontrait une relation et me demanda d’attendre dans ma chambre .
Mon cerveau commençait à explorer tout ce que Maitresse pouvait imaginer . La connaissant depuis longtemps , j’arrêtais vite ce travail inutile tant son imagination est infinie .
Une fois entrée dans ma chambre ( elle avait bien sûr une de mes cartes électroniques d’ouverture de ma chambre , ayant ainsi un accès permanent jour et nuit ) , elle me demanda de me déshabiller et sortit le grand sac d’objets de torture et de séquestration que j’avais apporté .
Elle m’ordonna de me coucher sur le lit sur le dos . après avoir vérifié que je portais toujours ma cage et mon plug . Je La vis prendre , avec un grand sourire en me regardant , une corde de chanvre . Elle entreprit alors de m’attacher les chevilles , puis avec la même corde , m’attacher les cuisses , et enfin avec le bout des cordes disponible de m’entourer bien serré mon sexe déjà encagé . Me mettant ainsi dans l’impossibilité quasi totale de bouger un tant soit peu cette partie de mon corps .
Elle me mit les menottes aux pouces , et termina par un baillon mors dans la bouche et un bandeau sur les yeux .
Satisfaite de son travail , elle me dit qu’elle retournait dans sa chambre et passerait me voir avant de quitter l’hôtel .
Passer une nuit dans ces conditions étaient une première pour moi . J’étais à la fois ravi et un peu interrogatif sur la possibilité de dormir dans ces conditions . Mais j’étais très heureux que ma Maitresse ait eu du plaisir à s’occuper ainsi de son soumis quand et comme elle en avait envie .
La notion de temps étant très flou pour moi dans ces conditions , je ne sais trop dire quand ma Maitresse est revenue pour voir si tout allait bien pour moi et me souhaita une bonne nuit avant de quitter la chambre .
Elle m’informa qu’elle repasserait après sa soirée avant d’aller dormir .
Deux heures , trois heures , je ne sais , s’écoulèrent , me trouvant dans une sorte de nuage , oscillant entre être éveillé ou légèrement assoupi par la fatigue de la journée .
Soudain , le bruit de la porte me fit sursauter et Maitresse entra , vérifia que tout se passait bien pour moi . Je lui dis que ce fut un moment fabuleux , pendant lequel on ne sait plus très bien qui l’on est , où les idées foisonnent comme dans un rêve , où l’on ne sent plus vraiment son corps .
Et j’entendis Maitresse chercher des objets dans le sac plastique .
Un instant après je sentis des lanières de cuir me caresser la poitrine et je sus évidemment ce qui allait se passer . Maitresse commença à me fouetter toutes les parties de mon corps exposées sans oublier la moindre parcelle , alternant les coups légers et les coups violents . Elle avait pris soin de mettre un oreiller sur ma tête pour étouffer mes cris et elle eu raison car , cette séquence dura très longtemps et fut particulièrement douloureuse .
Mais ce ne fut rien à côté de ce qui arriva après un instant de pause : je reconnus immédiatement la roue de Wartenberg , qui de la même façon que le fouet , n’épargna aucune parcelle de mon corps depuis la plante des pieds , les seins , les aisselles jusqu’à mon sexe . Bien qu’encagé , Maitresse sut parfaitement trouver les accès à mes couilles et à mon gland qui subirent un assaut de longue durée .
Encagé , sans autorisation de jouir , la sensation fut extrême et la frustration infinie .
Enfin , Maitresse me dit d’une voix parfaitement naturelle : « Dormez bien . A demain » et fit une chose dont je ne parlerai pas qui m’a infiniment touché .
Notre séjour continua de se dérouler selon le même schéma , Maitresse me laissant la possibilité de parler pendant les repas et les visites , nous eûmes de longues conversations sur de multiples sujets
Pour ne pas être trop long , je dirais seulement que le mercredi soir fut aussi magique que la veille .
Je garderai un souvenir à vie de ces quatre jours , de ces soirs , hors du cadre habituel , dans une chambre d’hôtel à côté d’un palais impérial , dans des circonstances si différentes du donjon .
Une sorte , de rêve , de fantasme qui devint réalité sans même avoir été moi-même demandeur .
COMMENTAIRE D'AXELLE DE SADE :
C'était le 2ème voyage avec Maintenon, le 1er ayant eu lieu en début d'année où j'ai pu me ressourcer sous le soleil de Guadeloupe.
Cette fois-ci, j'avais choisi Vienne comme destination, car je suis à la recherche d'une nouvelle ville où m'établir la moitié de mon temps. Paris, sa grisaille et sa législation abolitionniste me fatiguent et je recherche une capitale accueillante.
Malgré la douceur de vivre de cette ville, ça ne sera pas Vienne. C'est une ville musée, certes très belle, mais profondément endormie.