Rencontrer une Maîtresse pour la première fois est toujours un événement, et qui s’est avéré cette fois-ci merveilleux: grimper l'escalier de bois, accéder à son donjon - qu'elle dit petit et qu'elle va quitter mais qui est bien agencé et équipé - et enfin l'apercevoir et être ébloui: Maîtresse aXelle est en effet élancée, élégante, féminine et sexy avec ses longues jambes gainées de bas sombres son corset soulignant une taille fine et sa poitrine mise en valeur par un suggestif corsage de dentelle. Elle est souriante, sereine et une calme autorité émane de sa personne.
Elle m'a donné les règles à suivre auxquelles je me suis bien sûr conformé - participer, s'exprimer, savoir s'abandonner - et ses safe words que je n'ai pas utilisés. Puis elle a su me "prendre en mains" rapidement, en douceur d'abord puis crescendo, et en peu de temps j'étais physiquement et psychologiquement en son pouvoir et heureux de l'être.
En me mettant un plug de bonne taille, elle a remarqué "que je ne lui avais pas menti à propos de mon anus bien entrainé", ni "au sujet de mes tétons développés et provoquants", puis elle m'a posé une cagoule de caoutchouc épais, seulement ouverte au niveau du nez et de la bouche mais me rendant totalement aveugle, privé de sa vue mais enfermé dans son monde avec le souvenir de sa vision. J'ai ensuite été attaché très étroitement à la croix de saint André, jambes largement écartées et poignets attachés dans le dos, laissant mon sexe et mes tétons totalement exposés. J'étais alors totalement à sa merci et heureux de l'être. Alors a commencé une ensorcelante et délicieuse danse. Maîtresse Axelle a longuement et cruellement torturé mes tétons comme ils ne l'avaient je crois jamais été auparavant : 24 heures après ils sont toujours un douloureux mais délicieux souvenir de cette rencontre. En même temps elle s'amusait à me frôler par son corps parfait, si proche et pourtant si inaccessible et ce contact m'aidait à repousser les limites en rendant supportable la douleur qu'elle m'infligeait. Puis vint le temps d'un long cock and ball busting, entrecoupé de moments où je pouvais sentir son corps contre moi, embrasser respectueusement ses épaules, sentir sa peau si fine, profiter de cette intimité octroyée, qui n'irait jamais plus loin, mais qui m'aidait à supporter mon sort tant il me paraissait normal de souffrir pour appartenir à une si belle et impérieuse Maîtresse.
Puis je fus détaché de la croix, allongé sur le sol, mon sexe encore muni d'une forêt de pinces mais débarrassé de la cagoule et redécouvrant - en contre plongée - la silhouette féminine de Maîtresse aXelle et son sourire ensorcelant: j'étais à ses pieds, à ma place, attendant son bon vouloir. J'ai alors été pris au gode ceinture, puis longuement fisté: je n'étais plus alors seulement son soumis et le jouet de ses caprices, mais j'étais devenu sa petite pute, sa chienne ouverte, offerte au plus profond et heureuse de son sort.
Après avoir en vain prié Maîtresse de me permettre de m'abreuver de son Champagne intime - refus motivé par la situation sanitaire générale - j''eus enfin le grand honneur d'un facesitting, fier que mon visage serve de siège à ma belle Maîtresse, profondément troublé d'être si proche d'une entrejambe qui me serait pourtant toujours interdite, me sentant à ma place, contrôlé, possédé, apaisé et heureux de mon sort.
Les meilleurs choses ayant une fin, le temps est venu de redescendre sur terre, de remercier humblement Maîtresse Axelle, de bavarder quelques trop courts instants avec elle, profitant ainsi de sa vue mais aussi de sa vive intelligence, puis de prendre congé en espérant pouvoir la rencontrer à nouveau, cette fois ci dans son nouveau Domaine.
COMMENTAIRE D’AXELLE DE SADE
C’est toujours étrange de recevoir un.e inconnu.e dont le visage rappelle quelque chose. C’est ce qui m’est arrivé avec le Gourmand. Le mystère a été résolu à la fin du rendez-vous et vous ne saurez rien parce que je suis un peu sadique.
Le gourmand a bien été éduqué, je connais bien ses anciennes maitresses, il est vivant, sensuel et endurant néanmoins, je me souviens de quelques mains baladeuses si on le laisse trop en liberté. Toucher sa "belle" maitresse constitue son unique récompense. Ce fut une belle danse, une belle transe. Je prends beaucoup de plaisir à pratiquer le CBT (Cock ball torture) en ce moment. Il me plait d’imaginer que ma prochaine séance avec le gourmand sera axée sur le passage en revue de toutes les techniques du genre : Ball stretcher, ball cruche, parachute, humbler, testicule cuffs et cock harness